Episode 18: Ô orifices nus

Alors qu'il me caresse les jambes sur toute leur longueur avec une infinie volupté, je sens son sexe doucement s'introduire dans mes chairs vives. Son gland écartant de plus en plus mon intimité pour se fondre dans ma cyprine chaude qui enduit ce bout palpitant et maculé de perles... puis... peu à peu son sexe entier, jusqu'à la garde.Le mouvement est lent, tendre mais aussi rempli de désir , de cette excitation latente d'aller et venir dans ce fourreau que j'offre sans retenue, me cambrant de plus en plus afin de sentir chaque sensation que procure cette pénétration.

J'ai envie d'être baisée comme jamais auparavant...je veux le sentir fébrile puis le sentir devenir animal, ne contrôlant plus ses assauts. Je veux que son sexe devienne brûlant et qu'il explose, libérant au fond de mon ventre sa semence par longues saccades.

J'ai envie qu'il sorte son sexe lorsqu'il sentira venir l'orgasme et le dirige plus en arrière vers mon anus entrouvert par ses doigts, qu'il tente de s'introduire...d'abord le gland mouillé de mon flux...puis son membre érigé et ferme dans son intégralité...

Je sais qu'il désire mes orifices et pour l'exciter d'avantage, je gémis comme une chatte en chaleur, ondulant mon corps et caressant mes seins de mes mains sensuelles...alors que son regard croise le mien, je saisis ses poignets remontant vers le haut de mes cuisses et l'attire vers moi pour qu'il se penche, qu'il vienne poser sa bouche sur mes lèvres et enfin qu'il mette sa langue dans ma bouche pendant qu'il me pénètre bien profondément.

J'aspire sa langue dans ma bouche et la suce telle une friandise alors que mon sexe engloutit sa verge et en contractant mon périnée, j'emprisonne sa queue, je l'aspire elle aussi dans ce brasier.

Là, à cet instant, je suis toute à lui, offerte, soumise à ses pulsions de mâle. Ses mains pressent mes seins, mes mamelons sont durs entre ses paumes, il les pétrit et j'aime çà...J'écarte bien mes jambes pour sentir ses testicules cogner contre mes fesses alors que mes mains se dirigent vers le bas de son dos que j'appuie contre moi pour accompagner ses mouvements du bassin...là, il me fait l'amour de tout son être, de toute sa puissance d'homme...Il arrête de m'embrasser et son visage vient se perdre dans mon cou, il me murmure tout bas:"Déborah, vous êtes divine, je suis vôtre et vous êtes mienne sous ce clair de lune, dans cette nuit moite, je vous veux encore..."

Le visage enfoui dans ma chevelure, ses gémissements se font longs et j'ai la sensation qu'il a de plus en plus de mal à se retenir d'éjaculer en moi...